Martin Gray est l'auteur de plusieurs best-sellers, notamment «
». Ce dernier a été publier en 26 langues, en différentes
éditions, y compris en plusieurs livres condensés, dont
celui de la « Sélection Reader's Digest »
Le nombre de ses lecteurs, d'après des enquêtes précises
réalisées sur ce point est estimé à 30 millions.
Ce nombre considérable prouve que le phénomène
Martin Gray va au-delà du simple récit d'une vie aventureuse.
En fait, le courrier reçu par Martin Gray et ses éditeurs,
montre qu' «
» a apporté plus qu'un témoignage historique. Les
s lecteurs ont trouvé dans ce récit une véritable
leçon de courage et de confiance.
Dans de nombreux pays, plusieurs émissions télévisées
d'actualité ont été consacrées à
Martin Gray (rubriques littéraires, témoignages ...).
Ses contacts avec différentes personnalités mondiales
sont réguliers (réception à la Maison Blanche,
à l'Elysée, à la cour de Belgique ...)
Mais le plus important est sans aucun doute l'écho de ses livres
dans le public : des centaines d' d'abord, et l'essentiel : un courrier
qui atteint six cent mille lettres en provenance de tous les pays, et
parmi lesquels de nombreuses lettres de jeunes qui s'inquiètent
de leur avenir.
On peut comprendre ce succès et synthétiser les réactions
de ses lecteurs en étudiant leur courrier, de la façon
suivante :
Ils sont bouleversés.
Ils perçoivent les livres comme une leçon de courage.
Ils y puisent l'espoir.
Au moment où de nombreuses valeurs sont mises en cause dans
la crise de civilisation que nous traversons, ils trouvent un exemple.
Martin Gray est perçu comme un héros.
De ses livres se dégage une confiance en la vie.
Ses livres sont considérés comme un prolongement moderne
des « grands exemples » et certains lecteurs font référence
aux expériences et ouvrages religieux.
Martin Gray apparaît comme un témoin exemplaire.
AU NOM DE TOUS LES MIENS est un message de fraternité.
Les citations de deux lecteurs interrogés au sujet des livres
de Martin Gray résument bien l'opinion générale.
L'un de ces lecteurs déclare : « Ce livre est pour moi
une religion » l'autre dit : « Voir Martin Gray, c'est comme
si je rencontrais Michel Strogoff, le héros de Jules Verne.»
A titre anecdotique, au Canada, un exemplaire de AU NOM DE TOUS LES
MIENS a été prêté 54 fois.
Une jeune infirmière confie dans une lettre à Martin
Gray qu'elle avait décidé de se suicider, puis, par hasard,
elle a ouvert « AU NOM DE TOUS LES MIENS » le matin qui
a suivi sa lecture, elle lançait dans les vagues les comprimés
qu'elle avait accumulés. Cette vie sauvée, c'est un peu
le symbole de ce à quoi Martin Gray voue aujourd'hui son existence.
Il continue à écrire des articles dans divers journaux.
Parlant six langues, il donne de nombreuses conférences dans
les établissements scolaires à travers le monde, véhiculant
le témoignage d'une époque que les jeunes n'ont pas connue,
et leur faisant part de son expérience pour les mettre en garde
contre les actes de folie possibles.