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Au
nom de tous les miens
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Au Nom de Tous les Miens
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Paris, 1971 |
Martin Gray a subi les épreuves les plus atroces. Trois fois
la mort a frappé à ses côtés les êtres
qui lui étaient chers, le laissant seul survivant : sa mère
et ses frères tués dans la chambre à gaz du camp
de Treblinka, son père abattu sous ses yeux à la tête
des insurgés du ghetto de Varsovie. Le 3 octobre 1970, sa femme
Dina et ses quatre enfants mouraient dans l'incendie de forêt
du Tanneron.
Martin Gray a voulu qu'un livre rende hommage à la mémoire
de ceux qu'il a perdus, à la mémoire aussi de tous ceux
qui ont disparu comme les siens. Son récit est l'un des plus
bouleversants qui se puissent lire.
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Le livre de la vie |
Le Livre de la Vie |
Paris, 1973
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Cet ouvrage a obtenu le prix du Mérite littéraire «
Dag Hammarskjöld ».
Dans ce livre qui est la suite d’Au nom de tous les miens, Martin
Gray analyse sa vie après le décès de son épouse
Dina et de ses quatre enfants lors de l’incendie survenu à
Tanneron le 3 octobre 1970.
Pendant dix ans, l’écrivain avait vécu des moments
de bonheur avec sa famille ; il nous les fait partager. Ensuite survient
le drame. Martin Gray perd les siens pour la seconde fois. Durant des
semaines, il vit dans leur souvenir, ne changeant aucun jouet de place.
Il nous dévoile aussi les problèmes, les malheurs d’autres
couples. Il nous d’écrit comment ceux-ci réagissent
face aux épreuves de l’existence. Dans la vie, la passion
que l’on voue à quelque chose peut nous aider à
vivre, à aller plus loin. Martin Gray nous apprend aussi combien
« l’autre » peut nous réconforter, nous redonner
espoir grâce à une simple parole, un geste bénin.
Tout comme cette vieille femme qui vint un jour le voir, non pour lui
demander un autographe, mais pour le remercier d’avoir redonné
courage à sa petite fille.
Ce livre est destiné à chaque homme qui, un jour, s’est
interrogé sur le sens de sa vie ; a rencontré le désespoir,
la tristesse, afin qu’il retrouve « le bonheur, le courage
et l’espoir » par lui-même.
On remarquera que chaque chapitre se termine par un dessin : un arbre.
Celui-ci a été dessiné par Cécile, la fille
d’un imprimeur, ami de Monsieur Gray. « Elle avait du talent
malgré ses 12 ou 13 ans. De plus, le thème de l’arbre
a été choisi car il est le symbole de l’Homme. L’un
et l’autre vont ensemble ».
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Les Forces de la Vie
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Paris, 1975
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Ce livre, Martin Gray l'a écrit pour aider les personnes qui
s'interrogent sur le sens de la vie.
Pour ceux qui cherchent comment exprimer la richesse, l'invention,
le besoin d'amour qu'ils portent en eux. Ce n'est donc pas un roman.
Il comprend des exercices à pratiquer chez soi afin de se connaître
et de savoir rester maître de soi.
Nous noterons qu'il est parsemé d'interrogations ainsi que de
pages blanches lignées pour que le lecteur puisse y inscrire
ses réflexions personnelles.
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Les pensées de notre vie |
Les Pensées de notre Vie
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Seghers, 1976 |
Martin Gray reprend les pensées exprimées en italique
dans le Le livre de la vie et les développe
plus amplement. Il s'agit en quelque sorte d'un résumé
du second livre.
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La vie renaîtra de la nuit |
La Vie Renaîtra de la Nuit
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Paris, 1977
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Ce livre, Martin Gray
l’écrit pour son épouse, « pour Virginia, qui
m’a donné Barbara ».
Le premier chapitre nous présente un homme confronté
avec la joie que la naissance de sa fille Barbara lui procure et le
tourment qui le ronge lorsqu’il pense aux siens exterminés
à Treblinka, ou tragiquement disparus lors de l’incendie
de Tanneron, sept ans plus tôt.
Ayant laissé son épouse à l’hôpital,
Martin Gray se dit qu’il est « heureux ». Cependant,
il n’arrive pas à l’admettre. Ses souvenirs le tourmentent.
Il n’a plus le courage de vivre. En rentrant chez lui en voiture,
il adopte une conduite plus que dangereuse sur la route des «
Barons », afin de provoquer la Mort. Lorsqu’il retourne
chercher son épouse et sa fille, Martin Gray est en paix avec
le passé.
Ensuite, Martin Gray nous dépeint les sept années qui ont
précédé sa rencontre avec Virginia, sa jeune épouse.
Ces sept années sont peuplées de doutes, de questions, d’espoir
et de désespoir, d’insinuations scandaleuses quant à
la perte des siens. Mais il y a aussi les amis qui, par leur sollicitude,
constituent un facteur d’encouragement.
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Le nouveau livre |
Le Nouveau Livre
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Paris, 1980
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Dans ce livre, Martin Gray traite de 365 thèmes différents.
Un thème pour chaque jour de l’année. Cela va de
la naissance à la mort, en passant par l’amour, la vie
et d’autres sujets qui peuplent notre quotidien.
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J'écris aux hommes de demain
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J'écris aux hommes de demain
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Paris, 1983
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Comme le titre l'indique,
dans ce livre, Martin Gray s'adresse « aux hommes de demain »,
aux générations à venir qui devront vivre dans le
monde que nous leur aurons laissé, un monde d’incertitude,
tournant entre « la haine et l’amour », la tendresse
et la violence, l’amitié et la haine, l’exploitation
d’autrui.
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La maison humaine |
La Maison Humaine
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Paris, 1984
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« J’ai donné la forme d’une fable à
ce qui surgit de ma mémoire. Jadis, dans une ville complètement
détruite, alors que je n’étais q’un combattant
malheureux errant parmi les décombres, j’ai découvert
au milieu des ruines et dans la nuit, une petite fille. Et j’ai
essayé, en ce temps-là déjà, de construire
pour cet enfant une Maison humaine ».
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Enre la haine et l'amour |
Entre la haine et l'amour
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Paris, 1990
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« A ceux que le présent et l’avenir inquiètent
et qui ne se résignent pas »
« On n’attend pas l’avenir comme on attend un train.
L’avenir, on le fait »
(Georges Bernanos)
Voilà la première page, l’introduction de ce nouveau
livre dans lequel Martin Gray nous confie qu’il a peur, non pas
de mourir car la mort vient toujours un jour, mais cette crainte qu’il
éprouve est pour le futur de ses enfants, de tous les enfants.
Pour vous, vos enfants, pour moi et les miens, pour
chacun de nous, les dix ans qui viennent sont le moment du grand choix
de nos vies.
L'an 2000 est à nos portes. Sera-t-il pour nous,
nos enfants, un âge barbare, celui de la haine, ou bien, parce
que nous avons les moyens, le temps de l'amour ?
J'ai parcouru le monde, j'ai vu notre temps tel qu'il
est. L'aventure de notre futur, de notre avenir commence ici.
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Vivre debout |
Vivre debout
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Paris, 1990
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Partant d’un « fait divers » survenu en Grande-Bretagne,
Martin Gray essaie de comprendre ce qui a pu pousser deux enfants de
dix ans à torturer, puis à tuer, un autre enfant de trois
ans. Ce drame lui permet d’introduire le thème de son livre
: pourquoi cette haine, cette destruction de l’autre ; pourquoi
cette crise ?
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La prière de l'enfant
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Paris, 1994
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Un matin, alors qu’il n’était encore qu’un
enfant, Martin Gray est entré dans la chambre de ses parents.
Ceux-ci étaient assis dans le lit et avaient passé leurs
bras au-dessus des épaules l’un de l’autre : leurs
têtes se touchaient. Il les avait contemplés et, goûtant
à cette paix, il s’était mis à prier «
pour que cet instant dure toujours ».
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Au nom de tous les hommes |
Au Nom de Tous les Hommes
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Seghers 2004 |
"J'avais depuis dix ans choisi le silence. Mais comment ne pas
crier quand me senfants, mes proches, mes lecteurs m'interrogent. Ils
sanvent que je suis un témoin de la barbarie. Est-ce que cela
recommence ? me demandent-ils.
Ils parlent de cimetières profanés. Des mots de haine.
De la guerre. De l'inquiétude. Est-ce que l'injustice, le racisme,
la violence vont toujours obscurcir l'avenir des hommes ? Je dois répondre
à ces angoisses. je dois montrer d'autres chemins pour l 'homme.
Je dois dire que l'espoir demeure. Je veux qu'on entende ma colère,
et aussi mon espérance."
A quatre-vingt-deux ans, Martin Gray est la mémoire vivante
de la tragédie du XXè siècle, et l'incarnation
de l'espoir dans la vie. Evadé du camp d'extermination de Treblinka,
combattant du ghetto de Varsovie, il entre en vainqueur à Berlin
avec l'armée russe. Aux ETats-Unis, il fait fortune. En France,
où il vit, la tragédie le frappe de nouveau. Sa femme
et ses quatre enfants succombent dans un incendie de forêt près
de Cannes. De ce malheur, il fait une force. Ses livres, Au nom
de tous les miens et dix autres ouvrages apportent, sagesse, raison
de vivre et d'espérer à àdes millions de lecteurs
dans le monde.
Au nom de tous les hommes est un cri de colère, un
acte de fraternité et un message d'espoir.
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